Sommet UE-UA à Abidjan en Novembre 2017 sur le thème « Jeunesse et emplois »

  • Sommet UE-UA à Abidjan en Novembre 2017
  • 22 Octobre 2022
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5 après, le sommet avait-il une OPPORTUNITE pour faire la différence avec les autres sommets ?  (Article 2/5)

Le 5ème sommet pouvait-il réussir là où les autres sommets n’avaient pas réussi ? Pouvait-elle faire la différence avec une approche innovante et un système innovant de création d’emplois ? Bien que le défi fût titanesque, la réponse est oui.

En rappel, cet article est le 2ème d’une série de 5. Le 1er avait pour titre

Sommet UE-UA à Abidjan en novembre 2017 sur le thème « Investir dans la Jeunesse pour une croissance inclusive, accélérée et pour un développement durable » ;

5 après : Retour sur l’importante question de Frédéric GARAT de RFI et si sa question pouvait effectivement trouver une solution. Voir l’article 1

Dans cet article, il s’est agi d’analyser une importante question de M. Frédéric GARAT de RFI à la conférence de Presse en fin de sommet.

 

Voici la question posée :

« Pourquoi les gouvernants qui étaient là, la plupart au 4ème sommet, au 3ème et au 2ème sommet, vont réussir demain ce qu’ils n’ont pas réussi dans les précédents sommets »

Le 5e Sommet UA - UE s’est tenu les 29 et 30 novembre 2017 à Abidjan, en Côte ... Ayant pour thème central “Investir dans la jeunesse pour un avenir durable”, ... –Sources RFI 01-12-2017


 Frédéric Garat

Journaliste RFI

Voici la réponse du président de l’UA

Avec la force et la conviction que l’on connait, le Président KONDE a dit que la question de la lutte contre le chômage était difficile parce que l’Union Africaine ne parlait pas d’une même voie. Il poursuivra en disant que, maintenant que l’Union africaine a un même regard, une vision, c’est sûr que le sommet apportera une solution adéquate


SEM Alpha KONDE

Président de l’UA

L’analyse a démontré la pertinence de la question de M. GARAT. En effet, il a été démontré que le 5ème sommet n’a pas su faire la différence avec les autres sommets. Bien au contraire, la question du manque d’emplois s’est même empirée.

Si vous n’avez pas lu l’article et vous souhaitez le lire, vous pouvez le retrouver en cliquant sur ce lien.

Revenons maintenant à notre problématique, Le 5ème sommet UE-UA pouvait-il faire la différence avec les autres sommets en mettant en œuvre des possibilités de création d’emplois massifs ?

La réponse est oui.

En rappel toujours, en marge du 5ème sommet UE-UA, il s’est tenu le Forum des Affaires UE – Afrique, le 27 octobre, autour du thème « Investir dans la création d’emplois pour les jeunes ».

L’ensemble des communications du forum tant en plénière que dans les nombreux ateliers avaient pour but de voir comment l’Union Européenne pouvait rapprocher les secteurs privés UE et UA pour qu’ils créent des synergies de création d’emplois pour la prospérité des jeunes, mais aussi la lutte contre l’immigration clandestine.

Le forum a connu une très grande participation comme on peut le voir dans cette vue partielle de la Maison de la Culture d’Abidjan.

Dans la plénière de ce forum, un participant a fait une offre de solution reconnue pertinente par un des responsables de l’UE.

 Après s’être présenté comme un consultant du Burkina et saluer le thème de la rencontre en reconnaissant qu’une plus grande implication du secteur privé dans la création d’emplois était la voie royale pour lutter contre le chômage, il a poursuivi en ces termes ; « Si l’Union Européenne veut que les Secteurs privés africain et européen s’impliquent dans la création d’emplois, on doit résoudre le coût actuel de cette activité. On doit trouver un système qui rend la création d’emplois rentable pour que les investisseurs et entrepreneurs privés puissent s’en occuper et en faire un business rentable ; et tant que cette question ne sera pas vue sur cet angle, ça sera difficile d’impliquer le Secteur Privé dans la création d’emplois, car leur objectif est de faire des bénéfices, et tant qu’il n’y a pas de bénéfices, ça sera plus les ONG que le Secteur privé.

Il a ajouté qu’un bureau privé au Burkina a travaillé à mettre en place un système qui allège les charges des employeurs et qui rend la création d’emplois rentable.

Il poursuivra en disant qu’il est venu présenter le système et que les participants implémentent et d’en faire un business.

Le consultant avec la Directrice Générale de l’Agence Burkina d’Investissement qui a facilité sa participation et M. Seydou BOUDA, Directeur Exécutif, Groupe Afrique de la Banque Mondiale, qui a prodigué ses encouragements au consultant.

 Quand il a terminé, le responsable de l’UE a dit que si ce système peut permettre de faire de la création d’emplois un business rentable, nous en Europe, nous serons intéressés.

Par la suite, des échanges se sont poursuivis, après le forum avec les responsables de l’UE, surtout lors du cocktail, comme le montre la photo ci-dessous.

De gauche à droite, M. Seydou BOUDA, Directeur Exécutif, Groupe Afrique de la Banque Mondiale, M Roberto RIDOLFI PhD, Directeur de la Coopération et du Développement Durable, Dr Kay PARLIES, à droite, Chef de l’Unité du financement de l’Innovation et du Développement, tous les 3 à la Direction Générale de la Coopération Internationale et du Développement, avec votre humble serviteur Noufou GNAMPA Consultant du Burkina et Auteur de Système innovant de création d’emplois.

Malheureusement, comme déjà indiqué dans le 1er article, une suite concrète n’a pas été donnée à cette proposition, en raison d’une très grande erreur du consultant, qu’il reconnait, assume et demande aux autres d’éviter une telle erreur.

Mais comment concrètement le système peut alléger le poids de la création d’emplois et en faire un business rentable ?

Avant de voir les différentes étapes du processus d’allègement des charges et faire de la création d’emplois une opportunité d’affaire, laissez-moi, m’acquitter de ma promesse de révéler la très grande erreur commise par le consultant qui a tout gâché.

Elle était très simple. Dans le courrier qui a été envoyé à l’UE, le consultant a commis l’erreur de mettre parmi ses partenaires le logo de l’UE. En général pour les consultants, les partenaires sont ceux qui vous ont confié des missions. Sauf que ça ne marche pas avec l’UE.

La réponse a été immédiate, il faut enlever le logo des logos de vos partenaires. Bien sur le dossier est reparti avec une lettre d’excuse et de logo enlevé, mais le dossier n’a plus connu de suite.

Merci à tous ceux qui sont ou seront dans les processus de demande de partenariat de faire attention aux logos.

Revenons maintenant à notre problématique.

II. Les différentes étapes du processus d’allègement des charges à même de faire de la création d’emplois une opportunité d’affaire

Voici les différentes étapes du processus.

 

II.1. Le développement d’une nouvelle vision du marché de l’emploi

L’analyse du marché de l’emploi montre d’importants défis, mais ces défis peuvent se révélés être d’importantes opportunités pour les entreprises privées, si l’on voit ces défis comme un marché à très forte demande.

Enfin, en pensant au marché de l’emploi, voici l’offre que ce marché doit satisfaire.

En rappel en 2015, la BAD a estimé que l’Afrique avait un besoin de 15 000 000 d’emplois par an.

En 2019, quand le FMI a fait des études dans ce sens, le besoin d’emploi était de 19 000 000. Donc tandis que ce besoin augmentait, l’offre ne répondait pas au besoin croissant[1].

Les flots de migrants continuent de plus en plus nombreux, avec ses morts et problèmes. L’exemple des récents évènements de Celta et Mélina au Maroc entre autres sont des preuves palpables que le sommet UA-UE de 2017 n’a pas atteint son objectif.

Au plan national, un indicateur fort de cette question est le nombre de dossiers de candidature pour les concours des Fonctions publiques africaines. Dans le cas burkinabè, il est important de faire attention aux chiffres de 2021 et 2022. Le nombre de dossiers de candidature est passé de 1 300 000 en 2021 à 2 300 000 en 2022, soit plus de plus de 70% d’augmentation.

Au plan mondial, le besoin d’emplois est estimé à 600 000 000 d’emplois pour les 10 prochaines soit 60 000 000 d’emplois par an[2].

Par ailleurs, c’est un marché où le produit est l’un des plus chers. En exemple, les dépenses et souffrances d’un émigré clandestin, son coût pour les jeunes filles qui acceptent échanger leurs charmes contre de l’emploi, le djihadiste dont le besoin d’emplois insatisfait peut l’obliger à s’exploser, le coût social d’un chômeur de longue durée pour les pays qui accordent des indemnités chômage.

Ce produit est également des plus impactant sur le développement. Selon également le Fonds des Nations Unies pour la Population, UNICEF : « En exploitant son dividende démographique, on estime que le continent africain pourrait ajouter jusqu'à 500 milliards de dollars par an à son économie, pendant 30 ans ». 

Il ressort de toutes ces opportunités que la lutte contre le chômage par la création d’emplois peut être un domaine d’affaires des plus rentables, un des marchés, les plus porteurs en termes de retour sur investissement. C’est également un marché vaste et un marché pérenne.

La grande équation c’est comment rendre la création d’emplois accessible et rentable. Pour ce faire, le passage obligé était d’alléger les charges qui rendent la création d’emplois difficile et qui limitent le marché. 

 

II.2. Contenu du système

Le document de référence du SAAC IPR et ses composantes découlent d’un travail important issu de nombreuses années de recherche-actions de lutte contre le chômage par la transformation de la création d’emplois en opportunités d’affaires, voire en industries. Le système a été le fruit d’une très longue anticipation. Il a été construit sur la base d’une démarche scientifique dont les principaux éléments sont les suivants :

  • Les fondamentaux du système

  • Le cadre logique et l’architecture du système

  • Le programme AGIR

 

II.2.1. Les fondamentaux du système 

Deux éléments fondamentaux de base ont été posés et sont :

  • Rechercher une qualification gérable de la problématique du chômage

  • Trouver un modèle rationnel pour construire le système

  • Modéliser ce modèle dans le système d’allègement du chômage

 

II.2.1.1. Rechercher une qualification gérable de la problématique du chômage

La qualification gérable de la problématique du chômage

 

La recherche-action du comment trouver une solution crédible et pérenne au problème du chômage a conduit IMPACT Plus à qualifier « Le chômage comme un poids très lourd à soulever ». Cette qualification lui a permis d’établir une parfaite analogie entre le poids du chômage sur les Etats et les principes physiques des poids à lever, lesquels font référence par analogie au système des poulies dans une mécanique des leviers.

 

II.2.1.2. Modéliser ce modèle dans le système de l’allègement du chômage

Le modèle rationnel de construction du système

 

 

Cette application du système des poulies pour soulever facilement le poids du chômage a fait l’objet d’une démarche hautement scientifique. En prenant comme modèle la poulie d’allègement des charges, il a par analogie construit une architecture institutionnelle des poulies d’allègement du poids du chômage. Trois éléments ont été générés selon cette architecture des poulies appliquée à la lutte contre le chômage massif : (i) le concept du SAAC IPR, (ii) l’outil technique SAAC IPR, (iii) la stratégie de division des charges au moyen des six (6) organes institutionnels d’action.

 

 

II.2.1.3. La capitalisation des secrets du système de l’allègement du chômage

La capitalisation du processus de modélisation dans le document de référence

En synergie avec les éléments techniques et scientifiques du système des poulies, trois éléments connexes et six (6) organes ont été construits. Les lignes suivantes donnent des détails sur les principaux éléments des du modèle : (i) le concept du SAAC IPR, (ii) l’outil technique SAAC IPR, (iii) la stratégie de division des charges, (iv) l’élargissement du marché de l’emploi, (v) les programmes holistiques, (vi) le système pérenne de distribution et de vente, (vii) un système de formation accessible au plus grand nombre, (viii) la faiblesse des coûts et (ix) le système multi acteurs. Tout le processus de la démarche scientifique est consigné dans un document important appelé document de référence du SAAC IPR.  Un document de plus de 300 pages.

 

II.2.2. Le cadre logique et l’architecture du modèle

Après avoir capitalisé le processus scientifique de la modélisation dans le document de référence, le processus de construction s’est concentré sur la recherche et l’optimisation de meilleures chaines de valeurs.  Pour se faire il a été élaboré un cadre logique et c’est de ce cadre logique que tous les éléments d’accompagnement à la création de chaines de valeur à forte valeur ajoutée ont été conceptualisés et formalisés.

La présentation de cet important outil de cadrage d’un processus technique dans une problématique social et son architecture global permettront de mieux voir les chaines de valeur qu’apportera cette Industrie.

Cette présentation est disponible dans le document de référence de « 1 Jeune 1 emploi, c’est possible avec la Science des poulies »

 

II.2.3. Fonctionnement du système

Comme il ressort du cadre logique ainsi que de l’architecture du système, à l’instar du système des poulies, le SAAC IPR est un système global avec des outils indépendants, mais complémentaires. Le processus scientifique qui permet à la charge importante du poids du chômage d’être allégée pour permettre les créations d’emplois s’articulent sur six (6) leviers :

  • Les poteaux de supports ou les mentalités, piliers de développement. 

  • La poutre pour porter le système ou la création de nouveaux marchés d’emplois locaux

  • Les points d’ancrage ou les meilleurs systèmes de promotions

  • Les gorges de poulies elles-mêmes ou les meilleurs programmes de formations

  • Des cordes solides pour tirer la charge comme les meilleurs systèmes de formations

  • Des acteurs pour tirer les cordes ou le renforcement de la force motrice

Les résultats importants sont le fait de la synergie de l’ensemble des leviers, mais chaque levier a des matériaux propres et une contribution spécifique tels que décrites dans le cadre logique et l’architecture du système.

Chaque levier a fait l’objet d’identification de matériaux propres et d’analyse de contributions spécifiques.

Cliquez ici pour voir le résume du fonctionnement du système.

En revenant sur la problématique, Est-ce que le 5ème sommet UE-UA pouvait-il faire la différence avec les autres sommets en mettant en œuvre des possibilités de création d’emplois massifs ?

A la fin de cet article, je peux vous entendre dire que le système des poulies au secours de l’emploi peut en effet alléger les charges et rendre la création d’emplois plus facile.

Mais comment moi en tant qu’entrepreneur, investisseur ou simplement personne en besoin d’opportunités d’affaires, je peux contribuer concrètement à la création d’emplois, tout en faisant d’importants revenus ?

En relation avec cette question, nous avons pour vous deux grandes bonnes nouvelles.

La 1ère, bonne nouvelle est que les 5 années ont été mises à profit pour affiner un modèle d’affaire qui fait de la création d’emplois plus que des opportunités de business rentables, une véritable industrie dont les importants profits peuvent être tirés aujourd’hui même.

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La 2ème bonne nouvelle est qu’à l’occasion du 1er lancement, il sera accordé aux entrepreneurs et investisseurs, des opportunités de très haut rendement, mais en nombre très limités

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À très bientôt.